
Les faits se sont déroulés durant l’été 2020 au domicile familial à Mondelange, en Moselle, chez qui la victime revenait tous les 15 jours.
C'est la fillette qui a fini par se confier à la psychologue du centre de l’aide sociale à l’enfance où elle est placée depuis trois ans.
Un expert psy a indiqué durant l’audience que la fillette présente un retard mental, des carences affectives et des comportements sexués.
A la barre, le prévenu a clamé son innocence.
Le verdict sera connu le 9 novembre. Deux ans de prison dont un an ferme, aménageable sous bracelet, et un an avec sursis, ont été requis.
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